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Votre business plan parfait

Vous souhaitez monter un business plan ou prévisionnel financier sérieux et crédible ? Avec en plus des conseils pertinents qui vous donnent confiance pour la suite de votre projet ? BOURDAT Finance est là pour vous accompagner dans cette aventure !

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Un business plan qui gagne​

Nous rendons votre projet clair et lisible pour le banquier, afin qu'il puisse comprendre où vous allez, gagner en crédibilité et ainsi vous financer !​

Business Plan

Concrètement, notre équipe dédiée vous éclaire sur :

Les questions à se poser avant de se lancer :

Avant de réaliser un prévisionnel financier ou un business plan, la première étape INDISPENSABLE est de réfléchir à un certain nombre de points pour faire la différence avec la concurrence, et de présenter un prévisionnel financier complet :

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Nos offres adaptées à chaque budget

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Un business plan à prix abordable grâce à un partage de travail entre le client et notre équipe tout en bénéficiant de nos conseils

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Une offre destinée aux entrepreneurs au projet plus conséquent, qui nécessite une analyse approfondie

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En options pour les investisseurs : Rédaction d’un executive summary + Mise en forme de la présentation sous power point. 

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Nos clients  parlent de nous

Questions & Réponses sur le business plan

Une première partie écrite qui permet :

• D’expliquer le projet, le modèle économique ainsi que toutes les hypothèses chiffrées pour les projections financières

• De rassurer sur la rentabilité du projet

 

Une seconde partie « prévisionnel financier » qui permet :

• De projeter les hypothèses énoncées dans la première partie. Les tableaux qui composent cette partie sont un bilan et un compte de résultat ainsi qu’un plan de trésorerie.

Les projections financières sont généralement établies sur 3 ans.

• Se projeter

• Connaitre la rentabilité du projet

• Connaitre les besoins de financements à venir

• S’assurer que le modèle économique est viable

• Convaincre un tiers de l’accompagner (pour un financement principalement)

Le prévisionnel financier et le business plan sont indispensables à la croissance d’une entreprise, quel que soit son secteur, son projet, sa taille et le type d’investisseur (emprunt ou levée de capitaux). Il permet d’une part, de s’assurer de la viabilité du projet et d’autre part, de rassurer les prêteurs quant à la vision du chef d’entreprise et à la capacité future de la société à honorer ses engagements.

C’est toute la difficulté et la raison pour laquelle certains entrepreneurs et investisseurs critiquent les business plans. C’est compliqué de se projeter au démarrage. Surtout dans des activités moins traditionnelles car les marges ne sont pas connues et les aléas beaucoup plus importants. Pour les activités traditionnelles c’est plus simple pour la partie du prévisionnel qui concerne les charges et dépenses mais toujours aussi difficile pour celle qui concerne le chiffre d’affaires et les encaissements.

En effet, au démarrage d’une nouvelle activité, savoir combien de clients vont être gagnés, les paniers moyens et les délais de paiement, est un exercice qui n’est pas aisé. D’autant plus qu’en fonction de la personnalité du dirigeant, les projections peuvent être surévaluées ou sous-évaluées. Le plus souvent, l’entrepreneur qui démarre est optimiste et ambitieux ce qui peut biaiser les projections. Afin d’être le plus juste possible, l’idéal est de se reporter à des comparatifs connus : bases de données existantes d’entreprises concurrentes, bilans et comptes de résultats de concurrents, analyses sectorielles.

Par exemple, analyser des concurrents du secteur, dont la date de création de l’entreprise est récente, en se référent au nombre de l’employés si le chiffre d’affaires n’est pas connu. En plus du risque lié à l’optimisme de démarrage, l’autre risque est de sous estimé les besoins financiers et les charges. Il est fréquent de lire des prévisionnels dont les marges sont significativement plus importantes que celles du secteur. Ceci dû principalement à une méconnaissance du secteur ou au fait que l’entrepreneur pense pouvoir apporter des améliorations significatives dès le démarrage, ce qui n’est pas toujours le cas dans la réalité.

Un business model décrit le fonctionnement d’une entreprise. Le modèle le plus utilisé et connu pour établir son business model (ou modèle économique) est le « business model canvas ». Il a été créé par Alexander Osterwalder. Le modèle économique est le, prérequis de tout nouveau projet. Il permet d’identifier l’offre qui va être apportée, les clients qui vont être ciblés, les méthodes pour gagner des clients puis pour entretenir un lien avec eux et les servir, la manière de les facturer, les principales activités et ressources clés, les principaux partenaires et enfin les charges à anticiper.

Tous ces éléments ne sont pas figés et doivent être établis en partant du principe que d’autres solutions sont possibles que celles déjà évoquées ou utilisées par la concurrence. Un prévisionnel établi sans avoir fait au préalable une analyse du modèle économique ne peut pas être complet et précis.

Pour rappel, un business plan est composé de deux parties : le modèle économique et le prévisionnel financier. Il semble indispensable de mettre à jour le business plan de manière régulière, par exemple tous les semestres. En réalité, cette mise à jour permet de prendre conscience des trajectoires prises par l’entreprise et de rectifier en cas de besoin. Une fois que l’entrepreneur connait bien son activité, il peut se passer de mise à jour régulière en les remplaçant par le suivi d’indicateurs clés. Ainsi, à l’aide de ces indicateurs, il pourra suivre l’évolution de l’activité, rectifier les erreurs effectuées, anticiper les dépenses ou difficultés à venir.

Il est tout à fait normal que le prévisionnel ne se réalise pas précisément. En revanche, plus il se rapprochera de la réalité, plus l’entrepreneur pourra en conclure qu’il connait bien l’environnement de son activité. C’est une information majeure pour sa crédibilité auprès de tiers s’il souhaite demander à nouveau des financements dans le futur.

Dans tous les cas, il faut toujours être prudent car l’environnement peut évoluer. De plus, que le prévisionnel se réalise ou non, l’importance est que l’entrepreneur sache en expliquer la raison. C’est sur cet aspect que les tiers porteront un jugement. Faire des erreurs n’est pas un problème dans la mesure où elles sont assumables et que des leçons ont été tirées.

Le choix de la date de clôture est un élément important pour une société qui compte demander des financements régulièrement.

Pourquoi est-ce important ? car en fonction du choix de cette date, l’image de votre bilan comptable pourra être améliorée.
Pensez-vous avoir une saisonnalité marquée dans votre activité ? Si c’est le cas, il faut mettre une date de clôture de manière que l’entreprise ait un maximum de trésorerie au moment du bilan comptable.


Exemple : un club de surf a intérêt à clôturer ses comptes en septembre ou octobre plutôt qu’en décembre ou en mars. Dans le premier cas, il aura eu beaucoup d’encaissements durant l’été et dans le second, il aura beaucoup dépensé d’argent depuis l’étét pour les investissements ou les charges courantes. Ainsi, la tréso sera plus importante en septembre ce qui montrera à une banque ou un tiers une meilleure image de l’entreprise.

Enfin, il pourrait être intéressant d’allonger le premier exercice comptable afin de tenir compte de l’inertie de démarrage. L”exercice comptable peut aller jusqu’à 24 mois sans passer deux fois par la case 31 décembre. Comme au Monopoly.

Le chiffre d’affaires est le montant facturé au client. C’est la conséquence du travail réalisé ou du bien vendu. Les encaissements reflètent le paiement du chiffre d’affaires réalisé. C’est une notion simple mais qu’il ne faut pas confondre. Un chiffre d’affaires peut être réalisé sans que l’encaissement ait eu lieu. Le chiffre d’affaires est une notion comptable alors que l’encaissement est une notion de trésorerie. Le plus important risque est de confondre les deux et de commencer à dépenser de l’argent non encore reçue.
Les charges sont les prestations ou achats que le fournisseur a facturé. Les décaissements reflètent le paiement lié à ces charges. Le paiement est donc normalement la suite logique d’une charge. Les charges sont une notion comptable alors que les décaissements sont une notion de trésorerie. Bien comprendre cette différence est nécessaire pour la lecture des états financiers de l’entreprise.
Le chiffre d’affaires peut être calculé au forfait, au temps passé, par lot, à l’unité. Il peut être dégressif en fonction du volume. Il est limité en fonction des produits à vendre ou des capacités d’effectifs pour les prestations de service. Le chiffre d’affaires est un élément du compte de résultat. Il représente la facturation ht établie aux clients.
La marge brute est la différence entre le chiffre d’affaires et toutes les charges indispensables pour la réalisation de ce dernier hors charges de personnel. C’est une notion importante car cette marge va permettre de prendre en charge les charges de structure, les impôts et taxes, les charges de personnel.
Ce sont les charges qui ne participent par directement au service ou à la marchandise vendus au client. Elles peuvent être fixes ou variables. Ce sont par exemple les loyers, les fournitures, les locations de véhicules…Certains types de charge peuvent être prises en compte dans la marge brute ou les charges de structure en fonction de l’activité de l’entreprise. Bien que n’impactant pas directement le client, elles sont souvent indispensables au bon fonctionnement de l’activité de l’entreprise. D’ailleurs, toutes les charges d’une entreprise sont engagées dans le but de contribuer à son activité. C’est une des conditions pour qu’elles soient prises en compte en comptabilité.

Un amortissement comptable est une écriture comptable qui consiste à étaler une charge (une facture) sur plusieurs exercices lorsque le bien acheté a une durée de vie supérieure à 1 an. Tous les biens (et non les services) qui ont une valeur supérieure à 500 euros ht doivent être obligatoirement amortis. Exemple : achat d’un véhicule de 1000 euros que l’on va conserver sur 5 ans. On va passer une charge de 200 euros pendant 5 ans en comptabilité et non une charge de 1000 euros sur l’exercice durant lequel la voiture à été achetée.

Étaler la charge permet de : Rehausser le résultat de l’entreprise en diminuant la charge passée sur l’exercice ; Coller avec la réalité car le véhicule en l’occurrence sera utilisé sur plusieurs années (exercices comptables).

Le résultat d’exploitation est le résultat comptable qui reprend l’ensemble du chiffre d’affaires et des charges liées à l’exploitation courante de l’entreprise. Sont exclus les charges et produits exceptionnels et financiers. Le résultat d’exploitation traduit la santé financière courante de l’entreprise. C’est le résultat le plus analysé par les tiers. Il est utilisé par les banques pour el calcul de la capacité de remboursements d’emprunts, pour les lignes de crédit… C’est ce résultat là qu’il faut prendre en compte pour anticiper des problématiques structurelles à venir.

Les délais de paiement sont un enjeu majeur dans une entreprise. C’est le temps qui va s’écouler entre la réalisation de la prestation, la vente de marchandises et le paiement de cette dernière. Une entreprise peut réaliser un chiffre d’affaires conséquent tout en se retrouvant en cessation de paiement. La négociation avec les clients et fournisseurs des délais de paiement est un crucial. En fonction des capacités financières des entreprises, il peut être préférable de baisser le montant du chiffre d’affaires mais de négocier des délais de paiement plus courts.

C’est pour cette raison que des start-ups de logiciels proposent une baisse de x % de la facture si le paiement se fait en une fois. Elles font cela pour encaisser le chiffre d’affaires au plus tôt. Les délais de paiement fournisseurs et clients sont résumés par la notion de besoin en fonds de roulement (BFR). Le BFR est la différence entre les stocks, les créances et les dettes à un moment donné.

Plus la somme des stocks et des créances est élevée comparée aux dettes, plus le besoin est important. Ce besoin est à combler par des emprunts ou de la trésorerie, lesquels ne pourront pas être utilisés pour autre chose que pour assurer ces décalages de trésorerie. C’est pour dégager de la trésorerie pour la croissance ou pour tout autre projet qu’il est important d’optimiser les délais de paiement. Le BFR sera d’autant plus important que la société sera en croissance.

En effet, une société en croissance engage des frais qui augmentent de mois en mois et un décalage avec les encaissements est toujours présents. C’est pour cette autre raison que les starts-up proposent des réductions si le client paie tout de suite, car elles ont besoin de trésorerie pour faire face à leurs besoins de fonds de roulement, toujours croissant et liés à la croissance de l’entreprise.

Les stocks sont les marchandises ou produits conservés dans le but d’être utilisés pour produire ou être vendus. Les stocks sont un sujet très important dans une entreprise. Deux principaux enjeux découlent de la gestion des stocks : le fait d’avoir accès au bon moment au produit souhaité afin que le client soit satisfait ; le fait d’avoir le volume de stocks adéquate afin de ne pas immobiliser de la trésorerie si ce n’est pas nécessaire.

Concernant ce deuxième point, le stock est en réalité de la trésorerie utilisée pour anticiper. C’est pour cette raison qu’il doit être ajusté afin que la trésorerie puisse être affectée à autre chose si nécessaire.

Trois types de régime de tva et donc trois différentes échéances de déclaration existent :

• mensuelle : la déclaration doit être faite le mois qui suit chaque mois),
• trimestrielle : la déclaration doit être faite le mois qui suit chaque trimestre civil)
• annuelle : si annuel, alors trois déclarations : un acompte en juillet et décembre + le solde en mai de l’année suivante).

Plus la fréquence est éloignée, plus ce mode est fait pour les petites entreprises. Une grande entreprise est obligée de déclarer sa tva mensuellement. Attention, pour pouvoir utiliser le régime annuel et trimestriel, il ne faut pas dépasser certains seuils de tva sinon, obligation de choisir le régime mensuel.

 

Si le dirigeant ne sait pas quel régime choisir alors conseiller le régime trimestriel car :

• oblige à être organiser régulièrement pour nous envoyer les factures pour la comptabilité donc nous tenons sa compta à jour et sommes capables de répondre à ses questions de manière précise
• permet de demander des remboursements de tva régulièrement le cas échéant
• En revanche, ca allège les formalités par rapport à des déclarations mensuelles. Les entrepreneurs ont beaucoup de travail et donc du coup ca leur laisse un temps supplémentaire pour nous transmettre les factures – améliore l’organisation par rapport à une tva annuelle et le régime de tva annuel nécessite souvent des régularisations en mai de l’année suivante et donc des mauvaises surprises en terme de trésorerie

Les principaux financements au démarrage sont l’emprunt bancaire, le découvert bancaire, l’apport personnel des associés (le capital social et compte courant). Il existe également la possibilité de récupérer de l’argent auprès d’investisseur privés, de sa famille, de plateformes. Mais également des aides de la région, de pôle emploi, de la BPI…

En fonction du secteur d’activité, les aides diffèrent. Toutes ces aides sont un des points forts de l’économique française ou les entrepreneurs. Elles sont forts utiles pour beaucoup. Le premier exemple et de pouvoir bénéficier du chômage tout en créant sa société.